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Pilatus PC12 | Qualification altiport de Courchevel – LFLJ
Unique ATO à délivrer la formation d’accès à l’altiport de Courchevel en Pilatus PC12.
ALPINE AIRLINES | FR.ATO.0132
La qualification à l’altiport de Courchevel est disponible toute l’année. Cependant, il est recommandé de réserver votre stage en dehors de la saison hiver (Décembre à avril) pour plus de facilité d’organisation et limiter le coût des redevances d’atterrissages à l’altiport de Courchevel.
Cette formation est délivrée conformément aux dernières exigences réglementaires, par une équipe d’instructeurs et d’examinateurs qualifiés Pilatus PC12.
En pratique : le rendez-vous avec votre PC12 est fixé à notre base principale CHAMBERY – LFLB pour le programme théorique.
Les vols entre CHAMBERY et l’altiport de COURCHEVEL (15 minutes) permettent la familiarisation avec la navigation en montagne mais également de disposer d’une base accessible par toutes conditions météorologique sans conditions d’accès particulières.
Durée de la formation : 2 jours.
Programme de la formation
- Formation théorique : 2h30
- Réglementation applicable à l’altiport de Courchevel
- Aérologie
- Performances de décollage et d’atterrissage : étude de la piste en pente et abaque de performance applicable au décollage
- Techniques du vol en montagne
- Navigation en montagne
- Application du Threat & Error Management au vol en montagne, et particularité de l’exploitation en SPO.
- Formation en vol : 3h00
- Navigation
- Reconnaissance et prise de décision
- Atterrissage à l’altiport de Courchevel en Pilatus PC12
Intéressé par une autre qualification avec le Pilatus PC12 ?
Nous proposons également la formation d’accès à l’altiport de Megève – LFHM et l’aéroport de la Môle – LFTZ !
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Histoire de l’altiport de Courchevel (issue de wikipédia)
En 1961, le maire Émile Ancenay et le conseil municipal approuvent la création de la piste au lieu-dit de l’alpage de Pralong, qui reçoit son premier atterrissage le 31 janvier 1962, le lendemain du premier atterrissage à l’altiport de Méribel.
Une chenillette issue des expéditions de Paul-Émile Victor est utilisée pour damer la piste, qui n’est alors reliée à aucune route.
Créée par Michel Ziegler et Robert Merloz, la compagnie régionale Air Alpes dépose une clientèle internationale depuis Paris, Lyon-Bron ou Genève avec ses Twin Otter et Pilatus Porter.
La piste est enrobée en 1968. A partir de 1971, elle est déneigée en permanence, ce qui permet aux avions d’atterrir sans skis.
Entre 1976 et 1979, la compagnie aérienne Auxiair décollait de l’altiport avec des Jodel D-140 Mousquetaire vers l’aéroport de Lyon-Satolas afin d’acheminer les clients de la station de sports d’hiver pour leurs correspondances sur les lignes régulières.
En prévision des jeux olympiques de 1992, la longueur de la piste est portée en 1989 de 375 à 537 mètres et sa largeur doublée (de 40 à 80 mètres)2 pour permettre l’atterrissage d’avions Dash 7 de 50 places et la pose d’une balise radioélectrique. Les travaux, de 35 millions de francs, nécessitent de déplacer 400 000 mètres3 de terre et la construction d’une centrale à enrobé provisoire.
Exploité par la mairie de Saint-Bon Tarentaise, l’altiport est doté d’un VIM 12 P2,5, d’une navette et d’un tracteur.